Si vous vous promenez dans les rues de Bourges et que vous passez devant la maison de Jean-Pierre Brossard, vous n’imaginerez pas qu’elle a pu être construite en 1965 ! Depuis que ce retraité et sa compagne ont fait le choix des panneaux Uniso et la société IFM, leur pavillon connaît une seconde jeunesse. Confort de vie, esthétique et économies d’énergie étaient les principales attentes de Jean-Pierre Brossard. Aujourd’hui, il est comblé et conseille la solution d’isolation thermique par l’extérieur Uniso dès qu’il en a l’occasion.

Depuis quand occupez-vous cette maison des années 60 ?

Jean-Pierre Brossard : C’est une maison de centre-ville que nous avons acheté en 2009. Nous avons une superficie de 90 m2 sur sous-sol enterré. C’est une maison de plain-pied avec une architecture assez classique. Il s’agit d’une construction en brique qui était très mal isolée.

Lorsque vous avez commencé à chercher une solution pour vos façades, quels étaient vos besoins ?

Jean-Pierre Brossard : J’avais deux objectifs. D’abord, celui de réaliser des économies d’énergie. Et puis, ma maison avait quelques microfissures et comme ma maison est en brique, on ne pouvait pas la piqueter et faire un ravalement. L’idée était donc de trouver une solution pour traiter l’aspect esthétique en masquant toutes ces microfissures et améliorer notre isolation.

Quelle était l’ampleur de vos problèmes d’isolation avant les travaux ?

Jean-Pierre Brossard : N’ayant pas le gaz de ville, je suis chauffé au fioul. Mais assez vite, après avoir acheté la maison, j’ai aussi installé un poêle à bois. De cette manière, j’arrivais à atteindre des températures correctes, environ une vingtaine de degrés. Quand il fait un peu doux, avec un poêle à bois, on peut monter à 23°. Mais je n’arrivais pas à chauffer toute la maison seulement avec le poêle à bois. J’avais d’importantes déperditions de chaleur. D’ailleurs, il suffisait de démonter une prise électrique pour sentir l’air qui rentrait.

Comment avez-vous trouvé la solution Uniso et son partenaire IFM ?

Jean-Pierre Brossard : En fait, j’avais déjà contacté le groupe Myral en 2010. Mais j’ai attendu un contexte plus favorable avec la campagne d’aides de l’État pour me lancer dans ce projet. C’était donc en fin d’année dernière. Je connaissais donc déjà le système d’isolation proposé par Uniso. Mais avant de contacter le commercial, j’ai voulu comparer avec d’autres techniques comme le polystyrène associé à un enduit ou la laine de roche avec un enduit. Aussi, comme mes voisins venaient de faire construire une maison avec un bardage sur chevrons avec une isolation en laine de roche, je m’y suis aussi intéressé. Mais j’ai finalement contacté Alexandre Ardaen, le commercial d’Uniso.

Comment s’est passée la rencontre avec notre commercial ?

Jean-Pierre Brossard : Je lui ai exposé mes besoins, en matière d’isolation et d’esthétique. Il a été très à l’écoute. Quelques temps auparavant, j’avais rencontré le commercial d’une autre entreprise qui m’avait beaucoup déçu. C’est une personne qui ne voulait pas réaliser la partie ouest de ma maison parce que certains aspects techniques lui posaient problème, notamment un retrait au niveau de la toiture situé au-dessus de la porte d’entrée. Je voulais une maison complètement isolée, pas les trois quarts. Avec Alexandre Ardaen, cela n’a posé aucune difficulté. Alors que ce n’était pas le cas avec les concurrents, j’ai aussi compris qu’avec Uniso, tous mes appuis de fenêtre un peu fissurés seraient traités.

Quel type de finition avez-vous choisi ?

Jean-Pierre Brossard : Je dois dire d’abord que j’ai été très séduit par la variété de finitions proposées, des finitions modernes, tout un jeu de couleurs aussi avec un habillage complet de tout ce qui était par exemple encadrements. Alexandre Ardaen m’a montré sa maison avec du rouge et du gris qui auraient tout à fait pu me convenir. Nous avons pu voir des échantillons. J’ai finalement choisi la finition clin vertical. Le clin horizontal faisait selon moi un peu chalet alors que le clin vertical modernise complètement la maison. Il fallait faire attention parce que Bourges est une ville ancienne où il n’est pas possible de tout faire. Nous avons alors opté pour un gris métallisé.

De quelles aides avez-vous bénéficié pour financer les travaux ?

Jean-Pierre Brossard : J’ai bénéficié du dispositif Ma Prime Rénov’. C’est le commercial d’Uniso lui-même qui a lancé la demande d’aide alors que chez la concurrence on nous expliquait qu’il fallait nous débrouiller tout seuls. Les travaux ont été réalisés en novembre par IFM, l’entreprise de pose d’Uniso. Et depuis, j’ai reçu les aides en deux fois, la seconde tranche au début du mois de mars. Sur cet aspect financement, j’ai été très bien accompagné par Alexandre Ardaen. Il m’avait bien expliqué par exemple que 100 m2 étaient pris en compte. Ces aides m’ont bien arrangé, c’était vraiment bien cadré.

Et comment s’est passé la pose des panneaux Uniso ?

Jean-Pierre Brossard : Les travaux ont été incroyablement rapides puisqu’ils ont duré à peine deux semaines. Cela a été un chantier remarquable avec une équipe de poseurs très professionnels et très agréables. Le chantier était aussi très propre. Chaque jour, tous les déchets ont été enlevés. Pendant la durée des travaux, il a fait relativement beau, c’est aussi ce qui a permis d’avancer assez rapidement. Les poseurs ont géré les contraintes avec un grand professionnalisme. Ils étaient aussi très ponctuels, c’était impeccable. La fin du chantier s’est déroulée autour d’un repas réunissant l’équipe de pose et le commercial, Alexandre Ardaen.

Les travaux sont maintenant terminés depuis plusieurs semaines, quel est le gain thermique ?

Jean-Pierre Brossard : J’ai un gain de 3°, ce qui nous permet de nous chauffer uniquement avec le poêle à bois, sauf quand il a fait -5° pendant quelques temps. Le bilan est simple : je suis à seulement un mois de chauffage avec la chaudière au fioul sur l’ensemble de l’hiver. C’est donc un gain énorme. Le froid ne rentre plus comme avant et la chaleur sort beaucoup plus difficilement. Et cela se voit sur les factures. Auparavant, je chauffais pour environ 1200 euros à l’année avec le fioul. Là, si je compte un mois de chauffage, je vais tomber à moins de 200 euros, ce qui est ridiculement bas. Je continue seulement à mettre le poêle à bois.

« Aujourd’hui, c’est une solution et une entreprise de pose que je recommande.»

Et sur l’aspect esthétique de la maison, vous êtes satisfait ?

Jean-Pierre Brossard : On a une maison transformée qui fait des envieux. Souvent les amis qui voient la maison ne la reconnaissent pas. Une fois les travaux achevés, avec mon épouse, nous nous sommes félicités de notre choix, nous étions ravis. Ça donne un vrai coup de jeune à la maison. Désormais, plus d’entretien, j’ai gagné des années de sérénité avec cette maison !

Aujourd’hui, c’est une solution et une entreprise de pose que je recommande. Dès que je le peux, je donne le contact du commercial d’Uniso aux personnes intéressées dans mon entourage.

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